Les CRM qui tirent leur épingle du jeu

Il existe des dizaines, voire des centaines de CRM sur le marché. Pour chaque client nous établissons une matrice de conformité pour identifier le CRM qui est le plus adapté à la situation et au besoin du client. Nous avons tout de même nos préférés, voici le top 3 des solutions que nous connaissons et que nous avons installées chez nos clients. Base CRM : Simple, efficace et tellement puissant. C’est sans aucun doute notre préféré. La mise en place est très simple, l’interface est intuitive, et les fonctionnalités sont à la fois simples et très poussées. La solution proposée par Base CRM est simple à comprendre et à mettre en place. On a envie de maintenir la base de données tellement le logiciel est agréable. Peu de configurations possibles, alors si vous avez un processus de vente bien particulier cela ne risque de ne pas fonctionner. Le prix peut aussi rendre la solution peu attractive si vous avez une équipe de vente assez grande et un coût d’acquisition du client assez bas. On aime : – Simplicité d’utilisation – Très bonne application mobile (en particulier la version Android) – Interface attrayante et ludique On aime moins : – Le prix qui restreint les rapports de performance même pour les petites équipes – Peu de possibilité de s’adapter à un processus déjà établi Voici une petite vidéo de présentation pour en savoir plus sur le Base CRM : Agile CRM : Agile CRM est un outil finalement assez peu connu, et qui grandit à vitesse grand V. Le logiciel évolu vite et devient un outil très complet pour prendre en compte toutes les interactions avec le client. Le nombre d’outils et d’intégration ne cesse d’augmenter (aujourd’hui ils viennent d’annoncer une intégration avec Joomla). Agile est une véritable boîte à outils parfaitement adaptée si une grosse partie de vos interactions avec votre clientèle se fait par le web. On aime : – Solution très complète et très abordable – De très beaux outils d’automatisation de votre marketing (onboarding, support, infolettre, landing page …) – Une très bonne intégration avec Google Apps, Microsoft 365 et beaucoup d’autres On aime moins : – Le logiciel est très complet, on peut facilement s’y perdre – Les fonctionnalités évoluent rapidement, il vaut mieux avoir un esprit curieux et vouloir être à la pointe de ce qui existe en matière de CRM – Quelques problèmes de rafraîchissement de l’information (en cas de problème videz le cache) Vidéo de présentation de Agile CRM : BPM’online BPM’online est un outil qui amène l’automatisation à un tout autre niveau. Fondamentalement centré sur les processus d’affaires (comme son nom l’indique), vous allez être capable de modéliser à peu prêt tous les processus possibles. Très utile pour s’adapter à votre domaine ou à votre industrie particulière. On aime : – Grande flexibilité de configuration, on peut pratiquement tout configurer – Très beaux mécanismes d’automatisation, de distribution de tâches et de notifications – Rapport qualité prix très intéressant On aime moins : – Beaucoup de configurations nécessaires – Nécessite d’avoir des processus assez bien détaillés – Besoin de temps pour un bon apprentissage Si vous aimez cet article, n’hésitez pas à le partager dans votre réseau ! Vous pouvez nous suivre sur Linkedin, sur Twitter, sur notre blogue, et vous pouvez en apprendre plus sur nos services à ariolix.com

Un CRM c’est quoi?

Customer Relationship Management ou CRM est un outil de gestion et d’analyse des différentes informations relatives aux clients et aux prospects afin de vous permettre une bonne gestion et une fidélisation de votre clientèle, tout en vous permettant une bonne organisation dans vos équipes de vente. Le CRM est plus qu’un outil de vente ou de marketing, il vous permet de renforcer l’efficacité de vos ventes et ainsi optimiser les interactions non seulement avec le client et le prospect, mais aussi avec votre équipe de développement d’affaires. Le rôle du CRM dans votre organisation Quel que soit le volume de ventes de votre entreprise ou le type d’industrie, vous avez besoin de gérer votre relation avec le client ou le prospect. Pour que votre entreprise soit performante et vos ventes efficaces, les données de vos clients (conversations échangés, réunions, notes prises lors de rendez-vous…etc) devraient être accessibles en tout temps et depuis n’importe où. On peut résumer le rôle du CRM en trois points : Suivi client : Le CRM vous permet de faire des suivis détaillés de vos clients, du premier appel avec le prospect à la confirmation du projet, tout en passant par les différentes étapes de la discussion et des échanges sur le projet (réunions, courriels, présentation…etc.). Le CRM vous permet de centraliser dans un même outil toutes les données nécessaires au bon déroulement du projet. Si vous êtes plusieurs personnes dans la même équipe à travailler sur un projet commun, le CRM facilite les interactions entre vous et fluidifie la communication, ainsi vous évitez les doublons ou les erreurs et ceci reflétera une image positive vis-à-vis du client, avec qui vous allez bâtir une relation de confiance sur un long terme. Le système vous permet aussi de standardiser l’approche client, et ainsi s’assurer du maintient de qualité et de surtout de ne rien oublier (rappels, suivis, questions importantes …). Accès à l’information : De nos jours, pouvoir accéder à son bureau de n’importe quel emplacement est devenu primordial. Le CRM permet d’avoir accès à tout le dossier d’un projet spécifique, y mettre de l’information et modifier les éléments déjà présents. Avoir l’information client au bout du doigt est une manière rassurante pour votre équipe, qui peut répondre aux questions et aux besoins du client d’une façon détaillée et structurée. Le CRM vous permet aussi de vous assurer que toutes les opportunités sont suivies, et que deux personnes ne travaillent pas sur le même lead. Les statistiques Vous pouvez utiliser un CRM pour mieux interpréter les chiffres et les données collectées et ainsi améliorer la façon de travailler de l’entreprise et accroître de cette manière les vente de celle-ci. Par exemple, vous pourrez déterminer la performance d’activités comme le réseautage, 5@7, conférences, campagnes d’appels, campagnes courriels, média sociaux, mais surtout, les causes les plus fréquentes de perte d’une opportunité. Voici un article complet sur les CRM qui tirent leur épingle du jeu, testés et approuvés par Ariolix et ses clients. Si vous aimez cet article, n’hésitez pas à le partager dans votre réseau ! Vous pouvez nous suivre sur Linkedin, sur Twitter, sur notre blogue, et vous pouvez en apprendre plus sur nos services à ariolix.com

Google + : page locale ou page de marque ?

Google My Business est un outil proposé par Google pour vous permettre de contrôler vos informations qui apparaissent dans les recherche Google et dans des applications comme Google Maps. Dans un effort de simplification et d’automatisation, Google a rendu la situation autour des pages assez confuse. La source majeure de cette confusion est le lien entre les pages Google + qui vous servent à diffuser de l’information sur votre compagnie et les éléments de Google My Business qui vous permettent de mesurer votre impact et de fournir des informations à vos clients. L’utilisation de Google My Business est rendu nécessaire pour contrôler l’information qui s’affiche dans les résultats de recherche de Google, mais aussi dans les résultats de recherche de Google Maps. L’information est centralisée dans Google My Business et elle est ainsi facile à contrôler et à mettre à jour pour que vos clients reçoivent l’information la plus pertinente possible, et aussi pour que cette information se propagent dans différents outils Google comme Google Adwords par exemple. Le premier choix qui s’offre à vous tout d’abord et de choisir entre une Page Locale ou une Page de Marque. Qu’est ce qu’une page locale ? Une page locale est associée à un lieu physique, un point de service pour vos clients. Vous devriez donc avoir une page locale si vous recevez des clients directement. Pour bien comprendre, il faut voir quelle est l’information que vous voulez publier.Si vous voulez que vos clients vous trouvent facilement sur Google Maps : alors vous avez besoin d’une page locale. Google a rendu cela vraiment simple pour gérer plusieurs adresses pour une même entreprise. Ces informations sont alors facile à gérer et peuvent être reprises dans différents outils Google comme Google Adwords par exemple. Qu’est ce qu’une page de marque ? A l’inverse, lorsque votre entreprise ne reçoit pas de clients directement, vous n’avez pas besoin d’être trouvé dans Google Maps, une page de marque suffit. Présenter comme cela, cette deuxième variété n’a pas beaucoup d’intérêt par rapport à la page locale. Là encore pour bien comprendre à quoi la page de marque sert dans votre stratégie de marketing web, vous devez imaginez ce que vous allez faire de cette page. Vous pouvez bien sûr utiliser les deux types de pages pour votre entreprise. Cela va vraiment dépendre de ce que vous voulez communiquer. Par exemple nous communiquons à nos clients sur plusieurs pages Google + La page Ariolix : pour publier des informations sur l’entreprise directement. C’est une page locale La page MtlAerospace : pour publier de l’information sur l’industrie aéronautique (et en particulier autour Montréal). C’est une page de marque. Google My Business vous offre donc la possibilité de rassembler vos informations à un seul endroit pour mieux la gérer, tout en vous permettant de séparer vos différents canaux de communication. Peut on se passer d’une page locale ? Théoriquement oui, et je pense que c’est aussi le cas dans la pratique dans bien des exemples. Seulement il y a un hic. Vous avez une entreprise, enregistrée ou incorporée, et vous avez un siège social. Cette information peut se retrouver publiée sans que vous le sachiez pour plusieurs raisons, et en particulier parceque Google met beaucoup d’effort pour répertorier dans Google Maps toutes les compagnies possible. Donc même si vous ne recevez pas de clients au lieu de votre entreprise, vous risquez de devoir tout de même créer une page locale. Libre à vous de publier à travers cette page, ou de continuer de publier sur votre page de marque. C’est donc à la fois très simple tout en autant potentiellement très confus. Laissez nous savoir dans les commentaires si vous avez eu des problèmes avec vos pages Google + Si vous aimez cet article, n’hésitez pas à le partager dans votre réseau ! Vous pouvez nous suivre sur Linkedin, sur Twitter, sur notre blogue, et vous pouvez en apprendre plus sur nos services à ariolix.com

Comment et pourquoi transférer la gestion de ses pages Google+ My Business

Google My Business est un outil très puissant et permet aux entreprises de publier de l’information sur l’ensemble des produits Google. Vous pouvez vraiment gérer beaucoup de points de votre existence sur le web, et ce positionnement est un point essentiel de votre marketing web. Le problème (il en faut un tout de même) est que l’interface de Google My Business est assez complexe et on a vite fait de s’y perdre entre les différentes pages G+, comptes Google, Brand Pages, Lieux et autres. Quel que soit votre situation il est important que le compte Google qui soit propriétaire de vos pages soit un compte que vous contrôlez complètement. Quand vous avez besoin d’aide vous pouvez ainsi nommer des gestionnaires de vos pages pour en partager le contrôle sans donner votre mot de passe ou pire encore donner la propriété de vos pages à un de vos fournisseur. La démarche à suivre est simple. 1- Connectez vous à Google My Business Votre entreprise sera connectée à un compte Google, pour vous permettre de gérer vos informations, et pour Google de vérifier votre identité. Si vous avez déjà un compte Google (un compte gmail par exemple) vous pouvez vous connecter à votre compte pour y ajouter votre entreprise, sinon vous pouvez créer un compte spécialement pour cela. Une fois connecté vous arrivez sur la page qui vous presente les emplacements qui sont connectés à votre identité google (Dans l’exemple ci-contre j’ai trois adresses physiques liées à mon compte Google Cyril Arnaud) ainsi que les entreprises que vous gérez (dans l’exemple j’ai une entreprise : Ariolix). 2- Créez un compte professionnel pour votre compagnie Vos adresses professionnelles doivent être attachées à un compte professionnel. Si aucun compte professionnel n’apparaît sur cette page vous devez en créer un. Vous pouvez cliquer sur le pour créer votre entreprise. Vous pouvez alors ajouter des gestionnaires de ce nouveau compte. Par exemple si vous voulez nous ajouter comme gestionnaire pour que l’on puisse intervenir directement sur votre compte, cliquez sur le menu de votre compte professionnels (les trois points verticaux en haut à droite) et sélectionnez Managers ou Gestionnaires. Vous aurez juste à entrer l’adresse courriel de votre gestionnaire et le tour est joué. 3- Transférez vos adresses dans le bon compte Vous avez peut être déjà des adresses d’enregistrées pour votre compagnie (il se peut même que vous en ayez plusieurs pour la même adresse ou plusieurs avec des adresses invalides). Cliquez sur votre compte personnel pour voir toutes les adresses. Sélectionnez celle que vous voulez transférer et cliquez en haut à droite sur le bouton Transfer Ownership et transférez l’adresse à votre nouveau compte professionnel. 4- Transférez la propriété des adresses à un autre compte Vous pouvez aussi ajouter comme gestionnaire un autre compte google pour vos adresses. Dans ce cas cliquez sur une de vos adresses et consultez la liste des gestionnaires dans la colonne de droite. Vous pouvez ajouter un gestionnaire et même lui transférer la propriété si cela fait plus de 24h qu’il est gestionnaire. Conclusion Maintenant que vous avez les instructions pour ajouter un gestionnaire il faut que l’on rentre dans les détails de pourquoi et comment bien utiliser un compte professionnel Google My Business. On y reviendra dans un prochain post. En attendant n’hésite pas à poser des questions, la gestion de Google My Business devient assez laborieuse si on fait des erreurs. Alors contactez nous si vous pensez avoir besoin d’un coup de main 🙂 Si vous aimez cet article, n’hésitez pas à le partager dans votre réseau ! Vous pouvez nous suivre sur Linkedin, sur Twitter, sur notre blogue, et vous pouvez en apprendre plus sur nos services à ariolix.com

Les 5 raisons de votre échec

C’est un titre ambitieux, mais on va essayer de résumer les 5 points qui semblent être les plus dommageables (et malheureusement très répandus) et qui peuvent amener votre nouvelle entreprise à un échec. 1- Vous faites tout vous même Après tout c’est votre business, je vous comprends tellement. Vous l’avez démarré tout seul cette affaire, c’est votre idée, votre sueur et votre sang. Et on le sait bien, si vous lâchez la barre ne serait ce qu’un instant vous êtes perdus ! En fait, que vous soyez seul dans votre entreprise ou à la tête d’une équipe en croissance, je ne pense pas que vous ayez commencé votre aventure en rêvant de vos soirées passées à faire votre tenue de livre, à vos après midi où vous essayez de maîtriser WordPress, et à toutes ces heures que vous passez à rechercher le meilleur CRM pour vos besoins. Vous avez lancé votre entreprise pour réaliser un rêve : alors concentrez vous à ça et laissez le reste à votre équipe (employés, consultants, fournisseurs…) 2- Vous construisez un service ou un produit et vos clients viendront tout seul Se focaliser sur son offre c’est bien, c’est même essentiel, mais la clef du succès est dans l’acquisition et la rétention de clients. Si vous avez la meilleure idée du monde, mais aucun moyen d’accéder à vos clients alors malheureusement vous n’irez pas très loin. Il faut donc accéder au marché, attirer et convaincre de nouveaux clients, et satisfaire et retenir les clients existants. Cela demande énormément de temps et de détermination. Si vous avez de la difficulté avec cela retournez lire le point 1. 3- Votre entreprise n’a pas de structure Il n’y a rien de plus triste que de voir son entreprise s’effondrer parceque l’on arrive pas à maintenir la croissance. C’est triste mais ce n’est pas une cause perdu pour autant. Vous avez des clients, vous commencez à en avoir plus, voire trop. Alors on fait quoi ? Comment on s’assure que vous avez les ressources nécessaires pour fournir vos clients ? Et les demandes clients non répondu, on les garde pour plus tard ? on les a perdu ? La structure d’entreprise est importante pour en assurer la croissance, sinon la moindre variation va rendre la rétention de clients très difficile car vous ne pourrez plus les servir correctement. Bien souvent il suffit de peu pour corriger le problème, avec un minimum de structure et surtout de définition de rôles et responsabilités. 4- Vos outils vous envahissent Les outils technologiques pour entreprises sont très utiles et vous permettent d’être plus efficace et vous permettent de faire plus de choses utiles pour votre entreprise. Du moins c’est ce que les vendeurs de logiciel promettent. On peut très rapidement se laisser emporter par une soif de nouveaux outils pour résoudre les problèmes que l’on rencontre dans le développement de notre entreprise. En fait, les outils sont là pour augmenter les performances d’une activité que vous avez déjà, ils ne remplacent rien. Du coup, si le nouvel outil que vous envisagez d’intégrer ne vous permets pas rapidement de mieux servir vos client ou d’en attirer d’autres alors vous faites probablement fausse route. Il en va de même pour la recherche du « meilleur »outil pour votre entreprise. Que ce soit un CRM ou une plateforme de gestion de projets, vous ne trouverez pas de plateforme parfaite. Trouvez en une qui vous plaise, qui renforce les bonnes habitudes que vous avez et qui vous permets de mieux servir vos clients, ce sera déjà un énorme pas en avant. 5- Vous n’avez pas de vision pour l’avenir de votre compagnie C’est une bataille de tous les jours de lancer et de faire croître votre entreprise. Si vous ne savez pas vraiment dans quelle direction vous allez, alors vous allez rapidement tourner en rond et des périodes de croissance et de décroissance vont se suivre sans fin. Lors d’une conférence dont j’ai déjà parlé ici, Dan Robichaud de PasswordBox (maintenant une division d’Intel) a fait une très belle présentation sur l’importance d’avoir une vision claire de l’avenir de l’entreprise. Il a lancé Passwordbox avec l’objectif de voir leur logiciel atteindre 1 milliard d’utilisateurs à travers le monde. Il est même allé jusqu’à imprimer une fausse première page du Wall Street Journal de 2020 qui annonce leur réussite.Cette vision claire et partagée par toute son équipe lui a permis de faire des choix et de prendre des décisions avec un seul objectif : comment atteindre 1 milliard d’utilisateur d’ici 2020. Tous ces écueils sont dangereux, mais ne sont pas nécessairement fatals pour votre entreprise. Après tout j’ai commis ces 5 erreurs au cours de la vie d’Ariolix, et c’est en s’entourant des bonnes personnes et des bonnes expertises que l’on peut arriver à dépasser ces écueils. Créer son entreprise est quelquechose de très difficile, et il faut savoir être reconnaissant de l’apport et du soutient de tout ceux qui nous entoure. Alors : Merci ! Sur le même thème Originally published at ariolix.com on November 28, 2015.

5 informations à retenir pour votre marketing web

Je suis allé (un peu à reculons) à la Conférence Rogers à Montréal. Et je dois dire, je suis bien content finalement d’être venu, et je recommande à tous d’aller à cette série de conférences à travers le pays. Je suis surpris en fait que ces conférences ne soient pas plus connues pour la qualité des conférences qui y sont données. Pour ceux qui les ont manqués les vidéos seront publiées sur la chaîne Youtube de Rogers Il y a eu une très bonne conférence de Ethan Song (Frank & Oak) sur les choses à faire pour réussir son lancement d’entreprise, Daniel Robichaud (PasswordBox, maintenant une division d’Intel) sur l’importance de garder le focus sur votre objectif à long termes, et une conférence d’Alain Tascan (anciennement EA Games, puis Sava Transmédia) qui a parlé de son parcours d’intrapreneur à entrepreneur (avec des hauts et des bas, mais j’y reviendrai dans un autre billet). Mais celle qui a particulièrement retenu mon attention (en tout cas pour le billet d’aujourd’hui) est la présentation de Sylvie Duquette (VP Assurance du service aux entreprises chez Rogers). On parle souvent à nos clients de marketing web, mais ce qu’il manque souvent ce sont des chiffres pour soutenir notre discours. Rogers a fait une très belle étude sur le sujet. Alors voilà quelques chiffres qui sont (de mon point de vue) fondamentaux pour ceux et celles qui envisagent faire (ou renforcer) leur marketing web. 1. Être présent sur internet augmente le chiffre d’affaires C’est un chiffre qui est revenu très souvent dans cette conférence. Près de 80% des gens découvrent une petite entreprise par le bouche à oreille, par contre 80% (le chiffre varie entre 70 et 90% selon la tranche d’age) de cette même population estime faire plus d’achats dans la petite entreprise en question si elle est facile à trouver sur internet. Donc, doit-on être facile à trouver sur internet ? : Oui Ça ne suffit pas, mais si le client n’est pas capable de nous trouver en ligne…il va trouver quelqu’un d’autre et dépenser son argent ailleurs. 2. Le client veut plus de services par internet Les chiffres étaient intéressants car ils varient beaucoup selon le secteur d’activité. On peut tout de même retirer certaines constantes dans les 3 points les plus importants : Au delà de 60% veulent trouver rapidement vos coordonnées et heures d’ouvertures 60% veulent avoir des moyens simple pour communiquer directement avec vous (téléphone, clavardage…) Moins de 25% disent être intéressés à regarder votre blogue Moins de 30% sont intéressés par des vidéos Un autre point qui m’a paru intéressant : la prise de rendez-vous en ligne. Nos clients nous en parlent de plus en plus, et c’est intéressant de voir des statistiques à ce sujet. Seulement 25% des gens se disent intéressés, sauf pour les restaurants où le chiffre atteint 50%. En clair : une fois sur votre site le client veut vous parler. Un point c’est tout ! Alors faites un site internet très simple, centré sur les renseignements qui sont directement utiles à vos clients. 3. Les commentaires et avis sur internet sont 100% bénéfiques Les commentaires sur internet sont aujourd’hui partout. On peut mettre des commentaires sur votre site, sur des annuaires, sur Google Maps … et cela même si vous n’avez rien demandé. Tout le monde à peur des commentaires négatifs, dans la vie comme sur internet. Et c’est vraiment là que les statistiques deviennent intéressantes. Vos clients sont légèrement plus susceptibles de laisser un bon commentaire qu’un mauvais, par contre ils sont bien plus susceptibles de laisser un commentaire si vous le lui demandez. Alors demandez à vos clients et utilisateurs de laisser des commentaires ! Leur offrir des rabais ou d’autres promotions s’ils laissent des commentaires ne change pas grand chose à leur probabilité de laisser un commentaire. Il faut juste demander des commentaires aux utilisateurs quand on sait qu’ils sont contents du service. Mais alors, les mauvais commentaires ? On en fait quoi ? Je pars du principe que vous donnez un bon service à vos clients, ou du moins que vous vous efforcez à donner un bon service. Alors une personne qui donne un mauvais commentaire est en fait une très belle opportunité d’améliorer le service. Si vous avez un client qui est mécontent de la façon dont il a été traité, cela révèle peut être une faille dans votre service à la clientèle. Engagez la conversation avec lui et essayez de résoudre le problème. 4. Restez à l’écoute de vos clients Je pense que c’est l’élément essentiel : il faut être présent sur les différentes plateformes pour rester à l’écoute de vos clients. Si vos clients laissent des commentaires, la moindre des choses c’est de les écouter. J’étais hier dans un restaurant et il y avait un commentaire sur Google Maps qui critiquait assez sévèrement la qualité du service. Si le restaurateur ne répond pas, on se dit instantanément que le commentaire est véridique et que le restaurateur ne fait rien pour améliorer la situation. Le restaurateur ayant répondu, je me suis dit qu’il fallait que j’aie moi même une opinion sur la qualité du service. En clair, vous devez vous assurer que votre entreprise est facile à trouver sur internet, que les utilisateurs peuvent laisser des commentaires, et que vous êtes à l’écoute des commentaires de vos utilisateurs. On ne peut pas être partout, mais le service Google Alerts peut vous aider à rester à l’écoute de toutes ces plateformes que vous ne connaissez pas. 5. L’infolettre reste un très bon moyen de rejoindre vos clients potentiels Si le bouche à oreille reste le meilleur moyen pour que vos clients d’entendre parler de votre business, et surtout pour qu’ils continuent à acheter, le marketing web est un très bon vecteur. Les statistiques montrent que dans toutes les tranches d’age, l’infolettre reste la façon qui semble la plus naturelle pour recevoir des informations d’une entreprise. Tout d’abord c’est le media que les gens sont le plus susceptibles d’accepter de s’inscrire pour (et donc de recevoir), mais aussi le moyen le plus susceptible d’être lu. C’est donc un moyen qui n’est pas à négliger et qui vient compléter et renforcer la ou les campagnes marketing que vous faites déjà. Si vous aimez cet article, n’hésitez pas à le partager dans votre réseau ! Vous pouvez nous suivre sur Linkedin, sur Twitter, sur notre blogue, et vous pouvez en apprendre plus sur nos services à ariolix.com

Retour sur notre événement de rencontre d’investisseurs

Une belle opportunité de “pitcher” son projet Dans les différentes formules que l’on développe pour accompagner les entreprises et les entrepreneurs nous avons créé un événement autour d’une belle opportunité qui nous a été offerte d’accueillir une délégation de l’AGPP (Association des Gestionnaires de Patrimoines Privés). Cette association française est un regroupement de gestionnaires de patrimoines. Plus habitués à la gestion de portefeuilles de valeurs mobilières, ils étaient intéressés à mieux comprendre le tissu économique du Grand Montréal, le dynamisme de l’entrepreneurship et de découvrir des belles opportunités d’investissement. Nous avons décidé de leur donner un bel aperçu en leur présentant un maximum de compagnies, avec des belles entreprises pleines de potentiel. Si vous lisez cela et vous vous dites “mais pourquoi ne m’ont ils pas contacté ?” la raison est double : on ne vous connait pas encore on a eu très peu de temps pour organiser l’événement et on avait seulement 7 places Loin d’être une excuse, il faut plutôt le lire : prenez contact avec nous dès maintenant et on vous appellera sans faute pour notre prochain événement ! Rapide bilan de l’événement Mais revenons au sujet, nous avons organisé un événement basé sur un concept simple : dix investisseurs, 7 compagnies, 4 heures. Nous avons demandé aux entreprises d’utiliser un format de présentation simple et standard; nous avons défini des objectifs en termes de temps de présentation et de questions. Plusieurs constats s’imposent suite à cet événement : la formule était trop dense?—?on a voulu trop en faire dans le peu de temps disponible seulement deux entreprises ont suivi le format suggéré au moins deux présentations ont eu un démarrage difficile (avec des gens qui s’endorment dans la salle) deux présentations n’avaient pas d’objectif clair la passion de l’entrepreneur et sa connaissance du secteur restent les éléments qui font ou défont une présentation On va donc revoir la formule pour faire l’événement différemment et ça commence par un meilleur accompagnement des entreprises qui présentent. Le format imposé avait un but simple : donner un rythme à l’événement et s’assurer que l’on aille rapidement au cœur du sujet (on laisse les questions venir sur les points qui sont intéressant au public pas au présentateur …). Quels sont les résultats ? Il est un peu tôt pour parler de résultats concrets, mais sur les 6 entreprises qui ont présenté une seule à vraiment généré de l’intérêt (suffisamment pour que les discussions se poursuivent aujourd’hui). Certains diront que ce n’est pas énorme, mais on a une tout autre vue sur le résultat : c’est la seule entreprise qui a suivi le format, qui nous a demandé du feedback et des conseils … et qui les a suivi. Comme quoi, se faire accompagner ça aide 😉

Montréal dernière du classement des startups, et fière de l’être !

Ce n’est pas tous les jours que l’on peut se féliciter de voir notre ville arriver dernière au classement. Et Pourtant, celui ci est d’importance, il s’agit du classement des meilleurs ecosystèmes pour les startups. Mais alors pourquoi c’est important ? Tout d’abord parceque c’est la première fois que Montréal est dans le classement (le dernier classement date de 2012). Mais aussi parcequ’on en apprend plus sur les forces et les faiblesses de l’écosystème. En particulier sur le fait que bien que l’appuis gouvernemental soit important les sources de financement sont peu suffisantes, notamment pour le financement de démarrage. On remarque aussi que si la main d’oeuvre est plus diverse et si le marché attire plus de main d’oeuvre étrangère, les capitaux ne suivent pas et restent majoritairement de sources locales. Pourquoi a-t-on de la difficulté à attirer des fonds d’investissements étrangers ? Est ce que c’est une cause ou une conséquence du faible taux de croissance (relatif) des startups québecoises ? Ça montre une chose : il reste beaucoup de travail à faire pour remonter le classement et passer numéro 1 ! Dans tous les cas on essaye d’apporter notre contribution avec notre premier événement : Investisseur recherche pépite !

The research for the best way to support entrepreneurship

At Ariolix, we have been supporting and helping entrepreneurs since 2009, and it has been quite a trip.Our goal and our mission centered the company around the quest to find the best way to support entrepreneurs.In 2009, Ariolix was purely a consulting company, and I looked for ways to help our customers with the best counsel, advice and the best tools we could find (see The problem with incentive, Why do we need outside consultants ?, How to efficiently use QR Codes ?, The first rule of managing your emails) This period brought mixed results, and today I think I understand why. As an entrepreneur, you have a vision, an understanding of your market that no consultant could bring you.That’s why it’s so difficult to bring the right level of help. A consultant needs to have an outsider view of your business and also a very good understanding of your field to bring you the most valuable advice.Another point that makes the help of a consultant tricky, is the fact that not all advice are practical, feasible in your particular situation, or worse : not in phase with your philosophy or your vision of the business. This doesn’t mean that consultants can’t help your business; it simply means that sometimes the entrepreneur needs more than advice and counsel. To better support entrepreneurship sometimes we need a more “hands on” approach. In order to solve these problems, we have redefined our service and we have build a team that is able to put into practice the vision that you have of your business.Our motto: “from venture to success” is more in line with this philosophy, and we will put the effort and provide the resources to put in place best practices and to deliver the results you need to bring your vision to fruition. Our services range from operation management (we are actively involved in your day-to-day operations), business support (we provide the expertise or specificity you need) to business growth (we help you develop your sales). By providing support to the structure of the company we are able to obtain improvements for the entire business. For example, we started to provide administrative support services to one of our customer in january 2015, by providing support, structure and best practices in the administrative department, and thus allowing the entrepreneur to focus and business development and production. On the first four month of the year the global results on the sales are clear, and the trend is promising for the rest of the year 🙂 The main objective with our different services is to provide the tools, processes and structure to allow your company to grow faster and stronger. Our business model and services will certainly need some tweak and tuneup in the future, but we strongly believe our offer is more in line with the current needs of the entrepreneurs we meet every day. So contact us to discuss how we can refine our services to provide your company with the support you need to bring your venture to the next level : success !

Steal your business ideas like an artist

I really loved “Steal like an artist” by Austin Kleon, and I started incorporating some of the recommendations in my daily routine. This book is initially intended to artists and describes how and why we take inspiration from different sources, different heroes. It’s a beautiful book and a really inspiring one. Austin Kleon describes in his book, among several examples and citations of artists that took inspiration from others, the 10 principles that’ll help artists unlock their creativity. We can easily apply these principles to a lot of sectors of activity, including entrepreneurship. The 10 principles are as follows: 1. Steal like an artist This first principle is describing the concept of creativity in a new way. You create not from a vacuum but from all your experiences, past and current influences. It’s exactly the same for business ideas. We often describe new business ideas by comparing it to other (and usually successful) businesses. And to find new ideas we need to push this concept one step further, and really take inspiration from the different businesses ideas we see around us to create our own. It’s by getting a lot of information on a particular field that we can have business ideas on this field and start developing our own venture. 2. Don’t wait until you know who you are to get started We can’t have all the information required and all the experience needed to start a business. We are helping businesses since 2009; we have seen a lot of different entrepreneurs and what is fascinating about them is this : they build their business while not being prepared and by learning along the way. First develop an idea, then simply do it ! 3. Write the book you want to read This principle can be translated by : provide the service or the product you’ll like to receive. For instance we insist a lot on customer service in our own business, because I want to receive great service when I’m the customer of your services. 4. Use your hands To develop an idea, a business model or simply a new service you want to add to your offer, I find it so much easier to use paper and pen. Don’t get me wrong, I’m a geek all the way and I love all the tools technology is providing. I take notes only on Google Keep for instance because it’s so much easier when you are looking for information later on. But at the same time, I need to take notes regularly in my Moleskine notebook or to draft my business services on the Business Canvas. Most of the time I’ll never reuse these notes or even reread them (maybe I should, though); the simple fact to put the ideas on paper helps me organize my thoughts and push them further. I still don’t know a better method than mapping my ideas on post-its and arranging (and re-arranging) them on the wall to prepare my presentations. 5. Side projects and hobbies are important Side projects come naturally; they are the “other” activities that seem to distract us from our main goal. But here is the trick : that’s the side projects that bring us closer to our goal. It’s counter intuitive but we need these “distractions” to remain creative and to make our main project evolve and adapt. This can be a new business project, an activity that we do for pure pleasure or a chunk of “non productive” time. Taking a bixi instead of the car or a cab for instance can allow us to see things differently and to come back to our project with renewed energy and focus. I used to go sit on a bench in the Botanical Garden of Montreal and stay there for an hour or so, either writing on one of my notebooks, or more often than not, just enjoying the scenery. This was a really fun and creative experience. And one more reason to consider side projects : sometimes they will grow big and fast and take over as your main project. 6. The secret : do good work and share it with people The concept of sharing seems so foreign to a lot of business people and entrepreneurs. I’m convinced that by sharing your ideas (new business, marketing ideas, new service, new product …) you make them better. In this principle, Austin Kleon is focusing on the recognition an artist can get (and how to get it), but I’m sure we can extrapolate this principle to entrepreneurs. To be able to push your project and to make it a success you need (among other things) a strong network that will support you, a lot of feedback, and also confront your idea to the harsh reality of life. Do not be afraid to share and promote your work and your ideas. This also can be translated by : build it, ship it and improve the next iteration based on the feedback you just received. 7. Geography is no longer our master This principle is, in its conclusions, similar to the previous one. You are maybe not located in the best place to make your business grow. Launch it anyway; you’ll always find ways to compensate the not-so-perfect location. 8. Be nice. (the world is a small town) We are strongly influenced by the people that we have around us. By surrounding yourself of good, or even better, great people, you increase your chances of success in your project. And the best way to do so is by being nice and helpful to a lot of these great people. Follow your heroes, imitate them, be nice, be helpful. 9. Be boring. (it’s the only way to get the work done) There is only one way to get things done : be organized, methodical and do it ! The idea in a business represents less than 10% of the success the business may experience. All the rest is composed of hard work, organization, administration, good accounting practices, rational decision making, careful customer relationship management, and just a touch of luck. If you are not organized and methodical, find someone to help you get through the more boring part of the job. 10. Creativity is subtraction We find our best ideas when the constraints are minimizing our options. We get really creative when the resources are scarce. It’s a question of survival, we can see that in art, in business as in civilisation. When the resources are too easily available, the civilisation has a tendency to remain immobile, to not evolve anymore. Abundance destroys creativity. Do not wait to have all the right cards in your hand to start playing. Launch your project now, and bootstrap it if needed; it’s the best way to create something new, original and truly life changing. Additional inspiring principle One of the tips that Austin Kleon is giving in his book, is to use a logbook. A little bit as in a captain logbook on a boat, or in the Captain’s log in Star Trek, the logbook intention is to track the main events in your day. It can also be used to track only the good events in your day, forcing your mind to focus on what went well, what made you smile, what made you happy. If only that, the logbook will help reduce some of the stress and direct your energies to what makes you smile 🙂